Greenshift Avis 2025 : Mon test complet du plugin WordPress qui révolutionne Gutenberg
Salut les entrepreneurs du web ! Laurent ici, depuis ma petite terrasse de La Paz où je grignote mes 30 minutes quotidiennes pour vous partager mes découvertes. Aujourd’hui, je vais vous parler de Greenshift, ce plugin WordPress qui fait beaucoup de bruit dans la communauté Gutenberg.
En effet, des mois d’utilisation intensive sur plusieurs projets, j’ai des choses à vous dire sur cet outil qui prétend révolutionner la création de pages WordPress. Ceci dit, ne vous attendez pas à un énième article marketing – je vais vous livrer ma vérité, avec ses pépites et ses épines.
Qu’est-ce que Greenshift ? Ma découverte du plugin
Un constructeur de pages pas comme les autres
Greenshift, c’est avant tout un plugin d’animation et de construction de pages qui mise tout sur Gutenberg. Contrairement à Elementor ou Divi qui créent leur propre écosystème, Greenshift s’appuie entièrement sur l’éditeur natif de WordPress.
C’est aussi un plugin avec des super blocks pour le SEO et l’affiliation comme ce bloc : Greenshift offer box
La philosophie ? Performance avant tout. Le plugin ne charge que les ressources nécessaires à chaque page, évitant ainsi le syndrome du “tout-en-un-qui-ralentit-tout” qu’on connaît bien avec d’autres constructeurs.
L’écosystème Greenshift : Plus complexe qu’il n’y paraît
Malgré tout, Greenshift n’est pas qu’un seul plugin. C’est en réalité une suite de 5 extensions :
- Le plugin core gratuit
- L’addon Advanced Animation
- L’addon Marketing et SEO
- L’addon Chart
- L’addon Query
Cette approche modulaire, c’est malin pour la performance, mais ça complique la compréhension pour les débutants.
Mon test approfondi : 12 mois d’utilisation intensive
Installation et première prise en main
L’installation ? Un jeu d’enfant. Cependant, la première ouverture de l’interface m’a fait lever un sourcil. Plus de 70 blocs personnalisables qui s’ajoutent à Gutenberg, ça fait beaucoup à digérer d’un coup !
La courbe d’apprentissage existe, ne nous mentons pas. En effet, si vous venez d’Elementor avec ses interfaces visuelles, vous allez devoir vous réhabituer à l’approche Gutenberg. Ceci dit, une fois qu’on comprend la logique, c’est fluide.
Performance : Le point fort indéniable
C’est là que Greenshift brille vraiment. Les tests de performance sont impressionnants. Sur mes sites, j’ai mesuré :
- 20% plus rapide que Stackable en moyenne
- 4 fois moins de consommation mémoire que Kadence Blocks
- 12 fois moins de mémoire que Spectra
En effet, avec des images optimisées, j’atteins facilement 90+ sur mobile en Core Web Vitals. Quelque chose d’impensable avec Divi ou Elementor sans optimisations poussées.
Les animations GSAP : Le vrai plus
Greenshift utilise la bibliothèque GSAP pour les animations, et franchement, c’est du niveau professionnel. Les animations 3D, les effets de scroll, les transitions… tout y est. Malgré tout, attention à ne pas en abuser – on peut vite tomber dans le “bling-bling” qui nuit à l’expérience utilisateur.
Exemple d’utilisation “magique” : Popup on exit intent
Greenshift Avis : Mes avantages et inconvénients après usage
Les points forts qui m’ont convaincu
Performance exceptionnelle : Je l’ai dit, je le répète – c’est du solide. Le chargement conditionnel des assets, c’est exactement ce qu’il fallait à WordPress.
Blocs pour le SEO et l’affiliation : rien que pour le sticky CTA en deux clics !
Animations professionnelles : Avec GSAP intégré, on peut créer des sites qui rivalisent avec les plus belles créations d’agences.
Compatibilité Full Site Editing : Greenshift s’intègre parfaitement dans l’écosystème WordPress moderne. Pas de bidouillage, ça marche.
Support réactif : La communauté Facebook est active et les développeurs répondent rapidement. En effet, j’ai eu des réponses en moins de 24h sur mes questions techniques.
Les limitations qui m’ont agacé
Version gratuite limitée : Comme souvent, le gratuit donne un aperçu, mais pour exploiter le potentiel, il faut passer à la caisse.
Courbe d’apprentissage : Si vous débutez sur WordPress, la courbe d’apprentissage est là et bien là. Le jeu en vaut la chandelle.
Bugs occasionnels : Malgré tout, j’ai rencontré quelques problèmes de compatibilité avec certains thèmes. Rien de dramatique, mais ça peut frustrer.
Documentation perfectible : En effet, pour un outil aussi riche, la documentation mériterait d’être plus détaillée.
Comparaison avec la concurrence : Mon retour d’expérience
Greenshift vs Elementor : Le choc des titans
Elementor, c’est 2 millions de sites. Greenshift, c’est 50 000+ installations actives. Les chiffres parlent, mais pas forcément de qualité.
Performance : Greenshift écrase Elementor. 9 fois moins de consommation mémoire et 2 fois plus rapide sur la page d’accueil. C’est mathématique.
Facilité d’utilisation : Elementor gagne haut la main. Son interface drag & drop reste plus intuitive pour les débutants.
Écosystème : Elementor a des années d’avance avec ses templates, ses addons tiers, sa communauté. Greenshift rattrape, mais c’est encore jeune.
Greenshift vs Kadence Blocks : Le match des performants
Kadence Blocks, c’est le constructeur Gutenberg le plus populaire. La comparaison est plus équitable.
Nombre de blocs : Greenshift propose 96+ blocs contre 39 pour Kadence. Quantitativement, Greenshift l’emporte.
Performance : Encore une fois, Greenshift domine avec 4 fois moins de consommation mémoire.
Rapport qualité-prix : Cependant, Kadence propose une version gratuite plus généreuse. Question de stratégie.
Greenshift vs Stackable : Les Outsiders
Stackable, c’est le concurrent le plus proche de Greenshift en termes d’architecture.
Fonctionnalités avancées : Les deux proposent des options similaires, mais Greenshift a l’avantage des animations GSAP.
Performance : 20% plus rapide en moyenne pour Greenshift. Pas négligeable sur des sites à fort trafic.
Tarifs et options d’achat : La réalité du portefeuille
Version gratuite : L’aperçu
La version gratuite de Greenshift ne limite pas les fonctionnalités de base1, contrairement à d’autres plugins. En effet, vous avez accès aux blocs principaux et aux animations de base. Ceci dit, pour les fonctionnalités avancées, il faut passer au premium.
Versions premium : L’investissement
Les addons premium ne sont pas si chers que ça.
Mon conseil : Commencez par la version gratuite, identifiez vos besoins réels, puis investissez si cela vous convient. Profitez des versions lifetime ! Le lifetime one site est à 110 dollars tandis que le unlimited lifetime (nombre de sites illimités, à vie) est à 400 dollars “seulement”. Honnêtement c’est pas si énorme quand on pense aux possibilités.
Pour qui Greenshift est-il recommandé ? Mon analyse
Les profils utilisateurs idéaux
Créateurs axés performance : Si les Core Web Vitals vous obsèdent (et ils devraient !), Greenshift est fait pour vous.
Développeurs et agences : L’approche modulaire et la performance en font un outil professionnel. En effet, vous pouvez créer des sites haut de gamme sans compromettre la vitesse.
Sites nécessitant des animations : Pour des portfolios, des sites créatifs, des landing pages impactantes, c’est du pain bénit.
Les cas d’usage déconseillés
Débutants absolus : Si WordPress vous fait encore peur, commencez par maîtriser les bases avant de vous lancer dans Greenshift.
Sites simples : Pour un blog basique ou un site vitrine sans fioritures, c’est peut-être overkill. Malgré tout, la performance reste un atout.
Budgets très serrés : La version gratuite a ses limites, et le premium peut vite faire grimper la facture.
Alternatives à considérer : L’honnêteté avant tout
Solutions similaires
Nexter Blocks : 90+ blocs, approche similaire, mais moins focus sur les animations. Une alternative sérieuse.
Essential Blocks : 60+ blocs, plus accessible pour les débutants. En effet, si Greenshift vous intimide, regardez de ce côté.
Otter Blocks : Moins connu mais solide, avec un bon rapport qualité-prix.
Mon tableau comparatif pour Mintavocado
| Critère | Greenshift | Kadence | Stackable | Essential |
|---|---|---|---|---|
| Performance | 5/55 | 3/5 | 3/5 | 3/5 |
| Facilité | 3/51 | 4/5 | 4/5 | 5/5 |
| Animations | 5/52 | 2/5 | 3/5 | 2/5 |
| Prix | 3/58 | 4/5 | 4/5 | 4/5 |
| Support | 4/53 | 4/5 | 3/5 | 3/5 |
Mon verdict final : 12 mois plus tard
Ma note globale : 4,2/5
Greenshift mérite sa place dans la cour des grands. En effet, c’est un outil puissant qui répond à un vrai besoin : créer des sites performants et visuellement impactants avec Gutenberg.
Ma recommandation : Si vous maîtrisez déjà WordPress et Gutenberg, et que la performance est cruciale pour vos projets, foncez. Cependant, si vous débutez ou cherchez la simplicité avant tout, regardez d’abord les alternatives plus accessibles.
Les évolutions à surveiller (Figma!)
Le développement va très vite chez Greenshift. Le plugin Figma to Greenshift en beta promet d’automatiser la conversion de designs Figma en blocs Greenshift. Ça fonctionne très bien !
Malgré tout, attention à ne pas tomber dans le piège de la course aux fonctionnalités. La force de Greenshift, c’est sa performance – j’espère qu’ils ne l’oublieront pas en route.
Mes Conseils Pratiques pour Bien Commencer
Étape 1 : Testez la version gratuite
Installez la version gratuite, créez une page test, mesurez les performances1. En effet, rien ne vaut l’expérience directe pour se faire une opinion.
Étape 2 : Rejoignez la communauté
Le groupe Facebook Greenshift est actif. Posez vos questions, regardez les créations des autres, inspirez-vous. C’est là que vous apprendrez le plus vite.
Étape 3 : Formez-vous progressivement
Ne cherchez pas à tout maîtriser d’un coup. Commencez par les blocs de base, puis ajoutez les animations petit à petit. Rome ne s’est pas faite en un jour !
On fait le bilan
Voilà les amis ! Mon retour d’expérience complet sur Greenshift après des mois d’utilisation. En effet, c’est un outil qui a sa place dans l’écosystème WordPress, surtout si vous cherchez à allier performance et créativité.
Ceci dit, gardez en tête que le meilleur outil, c’est celui que vous maîtrisez et qui répond à vos besoins réels. Malgré tout, si Greenshift coche vos cases, vous ne devriez pas être déçu.
Et vous, avez-vous testé Greenshift ? Partagez-moi vos retours en commentaire – j’adore échanger sur ces sujets techniques qui nous passionnent !
À bientôt pour de nouvelles découvertes depuis La Paz !




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